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Dora Moutot, rebelle du genre.

Je m’appelle Dora Moutot, je suis auteure de deux livres, je fais aussi du docu et je suis la créatrice du compte instagram « t’as joui ?” qui parle de sexualité et de féminisme. 

Je parle aussi pas mal sur ma page insta Dora Moutot qui est une page perso.

Dora Moutot, rebelle du genre.

Cela faisait six ou sept mois que j’avais lancé le compte Instagram « Tasjoui ». C’est un compte qui parle de plaisir féminin et donc, évidemment, quand on parle de plaisir féminin, on parle aussi d’anatomie féminine… Parce que c’est intrinsèquement connecté. Je me suis donc mise à parler de clitoris, d’utérus… Enfin, de nos organes quoi, les organes qu’on a en tant que femelle.  Et je me suis faite assez vite traitée de “terf” qui était un mot que je ne connaissais pas du tout à l’époque.

Certaines personnes se sont mises à me traiter de “transphobe” et de “terf”, on me disait que si je parlais de clitoris, il fallait parler aussi de personnes à pénis et que parler que de clito c’était transphobe.

Dora Moutot, rebelles du genre.

Quand j’ai commencé à parler de règles, à dire “les femmes ont leurs règles”, on m’a expliqué qu’on ne pouvait pas dire “les femmes ont leurs règles” mais “les personnes à vulves ont leurs règles”… Une personne en particulier, une personne transactiviste, a vraiment fait une fixette sur moi et a commencé à faire des storys à la une qui s’appelaient : “Dora la terf 1”, “Dora la terf 2”, “Dora la terf 3”, … Ces storys où cette personne me traitait de “transphobe” et de “terf”, c’est vraiment parti de rien.

Il regardait mes Storys sur le compte Dora Moutot (et même pas « t’as joui » ), et a commencé à expliquer que je n’étais pas inclusive des  personne non binaires, trans et compagnie. J’ai alors répondu “écoute, mon compte « t’as joui » est un compte qui parle d’hétérosexualité, si tu n’es pas content, c’est pareil !”.

Voilà ce que j’ai dit :  “C’est mon angle. Tu n’es pas content, c’est pareil”.

Cette personne a dit à sa communauté que le fait que je dise que c’était un compte hétéro, cela voulait dire que j’étais « LGBTQI phobe », que j’étais “transphobe” parce que non-inclusive, et que je faisais exprès de mégenrer cette personne. Parce que j’ai dit “si tu n’es pas content”, et comme cette personne s’identifiait comme une femme, et a donc interprété mon “si tu n’es pas content” comme un mégenrage…

Alors que j’aurais pu le dire à une femme, c’est juste une expression pour dire “dégage” !

À partir de là, cette personne a fait une énorme énorme fixette sur moi et  j’ai commencé à me dire “c’est quoi, une terf ?”, à faire des recherches Google, et puis pendant que j’étais en train de me renseigner sur tout ça, et que je commençais un peu à comprendre les enjeux, je subissais de plus en plus de harcèlement… De plus en plus de violence, et c’est une violence extrêmement misogyne qui est apparue quasi instantanément. C’est une forme de violence faite aux femmes. J’ai donc directement ressenti le caractère dangereux de cette idéologie et son caractère profondément violent envers les femmes.

J’ai reçu des insultes qui disaient “suce ma bite de trans”.

Dora Moutot, rebelle du genre

Je me suis dit “mais comment c’est possible ? ».

Ce sont les incels ou les masculinistes qui me disent ça… J’ai vite compris qu’il y avait des liens, qu’il y avait une forme de « trans-misogynie » et donc, c’est comme ça que j’ai pris conscience.

Et c’est ça qui m’a amenée vers le féminisme radical, parce que jusque là, j’étais plutôt une féministe libérale. Parce que je ne connaissais pas grand-chose, et en cherchant des termes comme “terf”, etc. Je suis tombée sur des blogs de féministes radicales, c’est comme ça que j’ai commencé à lire sur le féminisme radical et que je me suis dit “je suis d’accord avec tout, tout ça fait sens pour moi, c’est d’une logique… Voilà, c’est une évidence !”. Même que ça a fait complètement évoluer mes opinions sur d’autres points, comme le porno, la prostitution, etc.

Pourquoi tu penses que cette idéologie est une menace pour les femmes pour leurs droits en particulier, pour les enfants et aussi pour la société ou pour la démocratie ?

Je pense que c’est une menace et une insulte aux 100 dernières années de luttes féministes. Dans le sens où je pense que les femmes se sont battues pour essayer de ne plus avoir le poids des stéréotypes de genre sur le dos, et aujourd’hui, on nous y ramène sous le chapeau du soi-disant progressisme. Parce que moi, ce que j’avais compris du féminisme (et que je crois toujours que c’est), c’est que c’est quand même une lutte pour (justement) se débarrasser des stéréotypes de genre et pour assumer ce qui fait de nous des femelles. C’est-à-dire se dire : bon bah voilà j’ai un utérus, une capacité à avoir un enfant, je peux la prendre ou pas, j’ai un clitoris et il faut se battre pour l’accès au plaisir féminin, il faut parler d’endométriose, il faut parler de nos règles, il faut sortir de la honte de nos corps ! Mais ce corps ne doit pas dicter la personnalité qu’on a dans la vie, il ne doit pas dicter la façon dont je m’habille… En fait, il ne doit rien dicter parce que les femmes sont toutes différentes ! Et donc, par conséquent, pour moi, nous naissons avec un corps ! On ne peut pas naître dans le mauvais corps !  Par contre, on peut exprimer notre identité comme on veut dans ce monde et donc, par conséquent aujourd’hui, quand on dit que le mot femme est en lien avec le genre et non avec ma sexuation, pour moi, c’est extrêmement dangereux.

Cela enferme le mot femme dans un stéréotype et donc, du coup, une femme c’est quoi ?

Une femme c’est des stéréotypes de genre, et ces stéréotypes de genre, on essaye pourtant de s’en débarrasser depuis maintenant presque un siècle !

Dora Moutot, rebelle du genre.

Si les femmes avaient réfléchi avec cette idée d’identité de genre, par exemple, à l’époque des Suffragettes, au lieu de dire “moi, je suis une femme et donc je veux un compte en banque et je veux porter un pantalon !” qu’est-ce qu’elles auraient fait ? Elles auraient dit   “alors, je suis un homme”, voilà ! Donc si cette idéologie avait existé au tout début de la lutte féministe, ben en fait… Les femmes n’auraient jamais eu de droits! Donc pour moi cette idéologie va à l’encontre de la véritable pensée féministe de la première et de la deuxième vague. C’est le premier point pour lequel… Voilà.

Quand on me dit “je suis une femme” je veux qu’on me parle simplement de sexuation et je ne veux pas que ça dise quoi que ce soit d’autre sur moi à part que je suis née femelle.

Je ne veux pas que ça décrive le fait que j’ai des cheveux longs, le fait que je m’exprime d’une certaine façon,  que j’ai des faux ongles ou Dieu sait quoi, voilà ! Tout ça pour moi, c’est très dangereux et au-delà ça, il y a plein d’autres dangers.

Par exemple, si aujourd’hui on dit que n’importe qui peut devenir une femme, alors les femmes trans, donc les mâles transidentifiés, peuvent jouer dans les sports féminins. Moi qui pensais qu’on avait créé ces catégories-là, justement, parce qu’on sait bien que les femmes et les hommes n’ont pas les mêmes muscles, ni les mêmes capacités musculaires et donc, par conséquent,  on les a divisés en deux… C’est donc que sinon, les hommes auraient toujours gagné ! Cela n’a pas de sens.

Et là tout d’un coup, on se retrouve aux Jeux Olympiques avec un mâle transidentifié qui (en plus) n’a pas transitionné jeune, mais qui a transitionné très tardivement… Donc, qui a eu de hauts taux de testostérone dans son corps et a donc développé une capacité musculaire ! Il suffit de le regarder en images pour s’en rendre compte ! Il joue avec des femmes ! Donc, il prend la place d’une femelle, d’une femme qui s’est peut-être battue toute sa vie pour avoir une place aux Jeux Olympiques et qu’elle n’aura pas… Je trouve absolument scandaleux que ça passe, comme ça, et que ça ne soit pas discuté !

Dora Moutot, rebelle du genre.

Il y a aussi le fait qu’on se rend compte qu’en Californie, un certain nombre de mâles transidentifiés vont dans les prisons pour femmes et parfois, alors ça c’est du délire… Certains sont même des agresseurs sexuels de femmes ! Des hommes qui ensuite ont transitionné et donc, on peut se retrouver dans une cellule en prison avec un agresseur de femmes qui se dit femme ! Donc, on a ce type-là dans la cellule?

Ben moi, je trouve ça un peu … Voilà !  Je trouve ça extrêmement, mais extrêmement dangereux ! Et extrêmement bizarre aussi qu’on ne puisse pas en parler !

J’ai aussi  remarqué qu’aujourd’hui il y a un nombre de prix, de prix littéraires, de prix… bref, des prix  divers et variés, notamment, un en Australie, un prix littéraire que je regardais. Je regardais comment postuler et je voyais que pour postuler,  il suffit de s’ “identifiy as a woman”. Voilà. Donc n’importe qui peut s’identifier comme une  femme, ce qui ne veut plus rien dire.

Aujourd’hui, qu’est-ce que je vois? Je vois que la Belgique a l’intention de supprimer le sexe sur les cartes d’identité et tout ça mène à une forme de politique de l’effacement du sexe au profit de la notion de genre… Genre qui n’est que stéréotypes et clichés. Alors que le sexe, lui, est réel !  C’est la réalité de nos corps, c’est la réalité de la biologie, c’est la réalité en lien avec le concret !

Dora Moutot, rebelle du genre.

Sur énormément de niveaux, je pense que c’est très dangereux et je pense que c’est très dangereux pour beaucoup de jeunes filles qui se retrouvent dans cette idéologie et pensent que la solution à leur mal-être est donc la transition pour devenir un homme dans cette société… Donc, pour devenir le dominant, celui qui a tous les droits dans cette société. Et je ne peux pas complètement les blâmer !

Peut-être que si j’avais 14 ans et que j’étais, par exemple, une jeune femme lesbienne avec l’envie d’une esthétique un peu  butch, peut-être que je me dirais que, finalement, c’est peut-être plus simple de transitionner. Surtout qu’aujourd’hui, dans les communautés adolescentes “queers”,  on trouve ça hyper cool et soudain, on a un système de soutien gigantesque ! Comme ça, on devient aussi plus rapidement quelqu’un qui est très visible sur les réseaux sociaux, on montre sa mastectomie et tout le monde vous applaudit.

Donc voilà, pour moi, il y a énormément de danger pour les femmes là-dessous et notamment, à partir du moment où on va pouvoir “self identifiy” comme disent les Anglo-Saxons (s’identifier soi-même) et que le sexe va disparaître des cartes d’identité… Je ne comprends pas comment on va faire des statistiques sur les violences faites aux femmes qui viennent particulièrement des hommes ? Il y a quelque chose que je ne comprends pas… Je ne comprends pas comment faire des études sur les hommes et les femmes en médecine ? En fait, il y a plein de choses qui, j’ai l’impression, sont complètement laissées à l’abandon en termes de réflexion. Parce que la woke culture a décidé que tout questionnement serait transphobe, et ferait de la personne qui questionne une personne horrible à mettre sur le bûcher !

Peux-tu nous parler du fait que tu ne caches pas ta réelle identité ?

Je parle avec ma réelle identité sur Internet et si c’était à refaire, peut-être que je choisirais un pseudo.

Dora Moutot, rebelle du genre.

Car quand j’ai commencé à parler sur Internet, je n’étais pas militante. J’ai eu d’autres blogs avant, mais je ne voyais pas le problème à révéler ma véritable identité et c’est resté, tout simplement.
  
C’est-à- dire que ça n’a pas été une volonté de ma part de parler de ce sujet-là avec mon visage découvert mais bon, ça s’est fait comme ça ! Aujourd’hui, j’ai tendance à penser qu’il faut vraiment beaucoup plus de femmes qui montrent leur vrai visage autour de cette thématique. Parce qu’on voit bien en France, que les figures les plus visibles sur ce sujet aujourd’hui c’est Marguerite Stern, moi, et aussi Pauline qui est avec son vrai nom. Nous sommes quelques-unes et en fait, il y a beaucoup d’attention sur nous parce qu’on est des humaines réelles qui  incarnons cette lutte et cette pensée. Il y a effectivement d’autres comptes insta avec des femmes qui ne donnent pas leur véritable identité et leur visage et ces comptes-là sont quand même moins suivis parce que je pense qu’on a tous et toutes besoin d’identification, tout simplement.

Par conséquent, je pense qu’il est quand même urgent que les femmes osent car le fait que les femmes n’osent pas montrer leur vrai visage valide le fait que ce ne serait “pas bien” de dire ce qu’on dit. Qu’il y aurait un truc honteux à dire ce que nous disons ou un truc trop dangereux..

Tandis que si nous sortions toutes notre visage et que nous disions “Ben quoi ? Je n’ai rien dit de spécial ! J’ai dit qu’une femme est une femelle adulte humaine ! Est-ce que je vais vraiment aller sur le bûcher pour ça ? »

Dora Moutot, rebelle du genre.

Est-ce que dire une évidence est un problème ? Enfin… Si ça c’est censuré, mais où va le monde en fait ? Qu’est-ce que ça dit de la haine envers les femmes ? Et finalement, on rentre dans ce jeu (en ne montrant pas notre visage). C’est un peu comme si “Oh la la ! Je dis un truc hyper tabou ! Oh la la, je me cache! Je peux le dire mais pas le dire ! » Sauf que… Il faut revenir sur terre ! On dit un truc qui est le B.A.B.A enfin, je veux dire, on ne dit rien de fou ! On dit un truc d’une banalité en fait que… C’est ça qui est choquant !

Est-ce que tu aurais une anecdote à raconter sur un événement qui t’a marquée concernant la transidentité ou le transactivisme ?

C’est dur à dire il y a tellement de choses qui m’ont marquée ! C’est le festival du choc pour moi ! J’ai du mal à parler d’un événement en particulier…

Ah si ! Récemment, ce qui me choque terriblement, c’est qu’ en l’espace de 3 ans ça été extrêmement vite ! C’est surtout ça que je trouve incroyable ! Les transactivistes sont des très (très) grands stratèges ! Et je vais presque dire que j’ai un très grand respect pour leur niveau de stratégie ! Parce qu’en tant que femmes, on ne peut pas se vanter d’être aussi efficaces en termes de lobbying, en termes de faire imposer notre propre idéologie et de convaincre des députés, de convaincre des sénateurs, de convaincre des énormes marques comme LinkedIn de la nécessité absolue des pronoms…

Ils sont d’une organisation à faire tomber par terre et d’une rapidité absolument folle ! Le problème c’est que depuis que j’ai compris ce qui se passait, j’ai essayé d’alerter et on m’a très rapidement dit “Mais Dora, c’est des trucs de la sphère féministe ! Ce n’est rien du tout ! Tu te prends la tête ! Pourquoi tu te tracasses autant ? T’es un peu obsessionnelle !”,  des choses comme ça…

Sauf que j’ai vite compris que ça ne resterait pas juste dans les sphères féministes, et qu’on allait très rapidement en venir aux lois. Et donc, que dans pas mal de pays du monde, il y aurait des lois de “self identification”.

Dora Moutot, rebelle du genre.

Comme je le disais, la Belgique est en train d’effacer le sexe des cartes d’identité parce qu’il n’y a plus que le genre qui compte.  Et puis en France, il y a cette loi là sur les thérapies. En fait, c’est une loi contre les thérapies de conversion Gays, homosexuelles,… et bien sûr qu’il faut arrêter les thérapies de conversion homo ! Mais ils ont rajouté “interdiction des conversions homosexuelles et d’identité de genre” …  Ça m’a énormément choquée parce que c’est complètement confondre orientation sexuelle et identité de genre ! Ils ont donc rajouté des lignes dans cette loi autour de l’identité de genre, il y est aussi expliqué que toute personne qui s’opposerait, du coup, à l’identité de genre en tant que journaliste, en tant que parent, en tant que psy, en tant que personnel du corps médical, etc aurait des problèmes. Parce que lutter contre l’idéologie du genre voudra dire être un opposant à la transition et donc, ça voudrait dire être dans une thérapie de conversion d’identité de genre. C’est-à-dire que si on a sa fille qui décrète qu’elle est un homme, et que donc imaginons qu’on ait un psy qui lui dit “mais non, vous n’êtes pas un homme ! Vous avez vécu des traumatismes, il faut travailler là-dessus” etc, et qui lui dit “écoutez, je pense que ce n’est pas une très bonne idée de faire une mastectomie et ce n’est pas une très bonne idée de prendre des hormones chimiques” etc, et bien ce médecin pourra être accusé ! Parce que, justement, il ne laissera pas cette personne faire cette transition et donc, ce sera comme une conversion. Cela valide l’idée d’être née dans le mauvais corps…

Cela va punir les gens comme moi qui expriment leurs questionnements et leurs doutes sur l’idée qu’on peut être né dans le mauvais corps, et qui pensent plutôt qu’il faut déconstruire les idées avant de déconstruire les corps. Car notre travail c’est de déconstruire les idées avant de déconstruire les corps !

Parce que déconstruire un corps, c’est ce qu’on fait en dernier recours (et encore) !

Dora Moutot, rebelle du genre.

Donc, des gens comme moi pourront éventuellement être condamnés… Donc voilà, le fait que ça devienne une loi qui a été validée par quasiment la majorité, voire 99 % des députés… Et là, cette loi va être révisée au Sénat au mois de décembre… Moi, c’est quelque chose qui m’inquiète énormément ! 

Est-ce que tu as quelque chose à ajouter ?

Oui, sur cette loi, j’ai quelque-chose à ajouter parce que c’est intéressant, et c’est une loi qui se contredit. Dans le sens où, c’est une loi qui interdit les conversions homosexuelles. Donc c’est très bien ! On ne va pas obliger une gamine lesbienne à devenir hétéro en l’envoyant dans une colonie de vacances de conversion. Très bien ! Mais en fait, en mettant dans la mémoire l’identité de genre, il y a un certain nombre d’adolescentes lesbiennes qui transitionnent parce qu’elles veulent une thérapie de conversion (dans un certain sens)… Parce que le fait d’être une femme lesbienne et de « devenir » un homme, fait qu’elles « redeviennent » entre guillemets “hétéros” aux yeux de la société. Car alors, elles sont dans l’espace public des « hommes » qui sortent avec des femmes. Donc cette loi est absurde, d’un côté on se bat contre la conversion homosexuelle et d’un autre côté on en fait la promotion à travers la promotion du concept d’identité de genre.

Je ne comprends pas, j’ai l’impression que pas grand monde n’a réfléchi à la question…

Merci d’avoir écouté notre parole et merci à Dora Moutot pour son précieux témoignage ! N’hésitez surtout pas à partager le plus largement possible.

S’il vous plaît signez la déclaration des droits des femmes basée sur le sexe :

https://www.womensdeclaration.com/fr/

Son dernier livre se trouvant dans toutes les bonnes librairies :

https://www.amazon.fr/M%C3%A2les-bais%C3%A9es-livre-d%C3%A9nonce-patriarcat/dp/2813225371

La page T’as joui ? Avec qui libérer la parole & la jouissance des femmes ?

https://www.instagram.com/tasjoui/

Pour nous suivre et/ou témoigner : https://linkfly.to/rebellesdugenre

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